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16 janvier 2014

La chronique du festival J1 : mercredi 15 janvier

Affiche-Festival-de-l-Alpe-d-Huez-2014_Festival-International-du-Film-de-Comedie-en-Isere

Festival du film de comédie 2014

Alpe d’Huez, 15 janvier 2014

 

 

Cérémonie et film d’ouverture

 

           

Que dire d’un protocole d’ouverture bien huilé : des remerciements avec cependant une petite boulette de l’animateur qui confond Conseil régional et Conseil général et attribue à Vallini la région (Le Conseil général est pourtant, semble-t-il, à l’origine du maintien du festival à l’Alpe), des membres du jury qui n’ont toujours, depuis 17 ans, rien à dire à part d’être contents d’avoir été choisis, avec ce public si « fooormidaaable », un Président, par contre lui très en verve et qui nous invente une histoire à la Fernand Reynaud d’avion ch’tit en perdition.

Du coup, pour la présentation du film, Kad Mérad tient à partager la vedette et les voilà parti pour un duo un peu longuet sur leur amitié dont on a du mal à se convaincre de la sincérité, surtout d’ailleurs les deux actrices du film, figées et ignorées sur scène.

Moment très intéressant : la présentation du court-métrage, de et par Stéphane de Groodt, dont ses chroniques et ses jeux de mots absurdes font les délices de Canal + le dimanche. Court métrage « Palais de Justesse », dans la même veine que les chroniques dominicales, assez réussi et apprécié par les amateurs du genre et par ceux qui déchiffrent les bons mots du belge Stéphane avant l’heure des vêpres, sous peine d’éclater de rire en plein office.

Sinon, le film (vous ai-je dit que l’auteur est Dany Boon lui-même. Oui, oui, le Président du jury qui estime sans doute que l’on n’est jamais mieux servi que par soi-même, et ce public si… (air connu).

Donc, du Dany Boon pur jus, avec des éclairs de dialogue très drôles, un scénario parfois un peu lourd qui a tendance à s’étirer et des scènes en général très sur-jouées et des grimaces souvent inutiles mais qui font tellement rire les enfants !…. Le tout se regardant sans ennui mais qu’on a tôt fait d’oublier.

hypercondriaque photo

Voilà, c’est tout pour ce soir. À demain, si ça vous dit.

                                                          André Teillard


Et pour les amoureux du cinéma, une petite perle en hommage au 7ème art, à réserver tout de même aux passionnés et spécialistes: Pour découvrir toute la difficulté, même pour les plus grands, de mener un film jusqu’à son terme, c’est-à-dire dans les salles obscures. Pour doublement apprécier ce que l’on voit en ce moment au Festival !

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Les plus grands films que vous ne verrez jamais de Simon Braund

Il y a les grands films que tout amateur de cinéma connaît ou se doit de connaître, et il y a ceux sur lesquels ont travaillé les plus grands, réalisateurs, acteurs ou encore scénaristes, et qui n’ont pourtant jamais vu le jour.
 

De Return from St. Helena de Charlie Chaplin à The Lady from Shanghai de Wong Kar-wai, en passant par L’enfer d’Henri-Georges Clouzot, The Other Side of the Wind d’Orson Welles ou Superman Lives de Tim Burton, cet ouvrage raconte l’histoire de plus de cinquante « chefs-d’œuvre » du cinéma, parfois légendaires mais souvent inconnus du public, que vous ne verrez jamais.

Des films inachevés, victimes de leur contexte historique, artistique, humain, technique ou économique, qui se mettent pourtant à exister dans votre imagination grâce aux affiches conçues pour l’ouvrage, et aux nombreux extraits de scénarios, storyboards et photographies les accompagnant. À travers l’histoire de ces films, c’est celle du cinéma qui nous est contée (ses plus grandes stars, ses promesses et ses trahisons, ses contraintes et ses enjeux) dans cet ouvrage incontournable pour tous les passionnés du 7e art.

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Commentaires
S
J’ai trouvé, quant à moi, que la présentation générale était soignée, en tout cas plus que ce que nous avons parfois subi (J’ai un souvenir assez pénible de Mouloud…), et que les acteurs avaient préparé leur intervention de façon plus professionnelle. En espérant que les autres continueront dans cet esprit !<br /> <br /> <br /> <br /> Le film est de Bon était effectivement divertissant et la comparaison avec Louis de Funès, donnée pendant la présentation, assez pertinente concernant la façon de jouer.<br /> <br /> <br /> <br /> Mais déjà un coup de cœur pour le court-métrage très Kafkaïen que j’ai vraiment apprécié, où l’on retrouve l’univers décalé de De Groodt, son amour des mots, des calembours et autres contrepèteries. il est vrai que je suis j’adore le suivre sur Canal + (et il faut parfois s’accrocher, et même parfois se faire distancer) et je recommande son livre à savourer à toute heure et sans modération pour garder le goût du rire, de l'absurde, du non-sens et de la dérision…
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